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Quand tu regardes les informations, tu as l'impression que le monde s'effondre, que tout va mal et qu'il n'y a de toute façon rien à faire. Tu sais que tu devrais rester informé·e, mais mentalement, tu ne peux tout simplement pas le supporter. Tu n'es pas seul·e dans ce cas. De plus en plus de personnes souffrent de la fatigue informationnelle et évitent délibérément les médias.

Journal.lu offre une véritable alternative pour ceux·celles qui veulent rester informé·e·s sans se sentir mal par la suite. Les recherches de nos journalistes ne s'arrêtent pas au problème ; elles vont plus loin. Nous travaillons avec l'approche du journalisme de solutions, en cherchant des solutions qui ont fait leurs preuves et en parlant d'elles.

Trop abstrait ? Voici quelques exemples concrets de la façon dont nous couvrons nos sujets :

Christian Block, dans son article "Sortir de prison avec un emploi", examine comment les détenu·e·s, après avoir purgé leur peine, sont aidé·e·s à se réintégrer sur le marché du travail.

Dans l'article "Neurodivergence – pas juste une tendance TikTok", Misch Pautsch écrit sur la manière dont les gens sont soutenus via les réseaux sociaux pour découvrir leurs maladies mentales, ce qui les conduit à se sentir moins seuls.

Opter pour un abonnement au Journal signifie non seulement donner une vision du monde orientée vers la recherche de solutions, mais aussi une vision qui montre des perspectives diverses. Nos journalistes écrivent généralement un article par semaine. Ils·Elles ont le temps de parler à différentes personnes pour chaque sujet et de les rencontrer personnellement.

Pour l'article "Communication permanente", qui traite de ce que cela implique réellement lorsque les parents surveillent constamment leurs enfants et quels sont les risques, Audrey Somnard s'est entretenue avec 6 personnes différentes pour présenter leurs points de vue.

Depuis le début, le focus chez journal.lu a été mis sur les gens. Personne ne se cantonne à un rôle, et dans les interviews sur divers sujets, nous sommes tou·te·s plus que cela. Les politicien·ne·s et les artistes que Pascal Steinwachs interviewe lors de ses promenades ne sont pas toujours sous les projecteurs, comme dans l'article "Le temps d'après".

Notre travail consiste également à expliquer les choses compliquées afin de les mettre à la portée de tou·te·s. Camille Frati l'a fait cette année dans son article "L'index est-il irremplaçable ?", dans lequel elle explore ce que l'indexation automatique des salaires apporte finalement aux personnes et à l'économie et quelles pourraient être les alternatives.

Dans le podcast Ënnert dem Teppech de Marlee Dos Reis, les femmes parlent de sujets qui nous concernent tou·te·s mais qui sont souvent encore tabous. Qu'est-ce que cela signifie vraiment d'être mère ? En quoi nos cheveux sont importants pour notre estime de soi ? Et comment se traduit l'autonomisation des femmes dans la vie quotidienne ? Nous parlons dans un langage qui convient parfaitement.

Tu ne parles pas luxembourgeois ? Nous avons une solution pour cela aussi. Tous nos articles peuvent être lus en trois langues : allemand, anglais et français. De plus, nous produisons régulièrement des épisodes de podcast dans des langues autres que le luxembourgeois. Par exemple, le podcast Luxembourg Waffle, animé par Teodor Georgiev et Laura Tomassini, dans lequel ils·elles parlent à une personne qui vit au Luxembourg mais n'y a pas grandi. Avec eux·elles, tu découvres de nouvelles cultures et tu obtiens une vision différente du pays luxembourgeois.

On mange d'abord avec les yeux. Il en va de même chez journal.lu. Nos photographes, dont Lex Kleren et Misch Pautsch, se posent chaque jour la question de la manière dont nous pouvons raconter visuellement nos histoires. L'article "Les motards contre le harcèlement" le rend encore plus clair. Lorsque tu lis un article chez nous, cela devrait être une expérience – nous utilisons le texte, les images et l'audio pour transmettre les émotions d'un sujet aussi réaliste que possible.

Ça, c'est nous :

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