"Une voix forte contre la droite"
Par Pascal Steinwachs, Lex Kleren Changer en allemand pour l'article originalLes élections européennes approchent à grands pas. Une bonne occasion de s'entretenir avec les candidat·e·s des partis en lice. Cette fois-ci, c'est au tour de déi Lénk.
Déi Lénk sont réalistes. Même eux·elles ne croient pas qu'ils·elles obtiendront un siège au Parlement européen. Mais la candidate aux élections européennes Tania Mousel est convaincue que c'est une bonne occasion de présenter la politique de gauche à un plus large public. "Il s'agit aussi de montrer qu'une voix de gauche est importante, surtout au Luxembourg. Dans le cadre de la campagne électorale européenne, nous participons actuellement à de nombreux événements et sommes invités à des tables rondes, ce qui n'est généralement pas le cas", explique la bibliothécaire de 34 ans et ancienne porte-parole de déi jonk Lénk.
Outre Tania Mousel, nous nous sommes également entretenus avec Ana Correia da Veiga (41 ans), ancienne conseillère communale de la capitale, et Anastasia Iampolskaia (22 ans), qui étudie actuellement les sciences politiques à Maastricht, dans le cadre de notre série sur les élections européennes.
C'est la première fois que ces trois femmes participent aux élections européennes en tant que candidates, mais elles se sont toutes trois déjà présentées aux élections nationales et communales par le passé, Ana Correia da Veiga s'étant même présentée à plusieurs reprises.
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