Moteurs de la société - Yasmine Kauffmann

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En coopération avec Losch Luxembourg, nous présentons régulièrement des femmes qui, par leur parcours professionnel ou tout simplement par leur histoire personnelle, ont un impact très particulier sur la société luxembourgeoise.

La matinée est grise. Grise au point que même les plus gros hits de l'été dernier auraient du mal à créer l'illusion. Pourtant, Miley Cyrus et son single Flowers dont la pochette et le clip vidéo arborent ciel bleu, piscine et été font danser le Grand-Duché de Luxembourg.

La piste 1 de l'album Endless Summer Vacation est au sommet des charts luxembourgeois depuis quelques semaines et Yasmine Kauffmann – qu'on pourrait aussi surnommer Mrs. Chartbreaker – en sait quelque chose. La probabilité que ce soit elle qui l'ait annoncé au pays samedi dernier est grande. Aujourd'hui, elle s'apprête à tester une CUPRA Born.

Yasmine est une jeune femme de 29 ans qui travaille dans le domaine de la culture. Responsable de communication et des relations presse pour les Théâtres de la Ville de Luxembourg, elle combine son job à plein-temps avec l'animation de l'iconique Chartbreaker d'Eldoradio. "Ce que je fais, c'est large et varié", explique-t-elle. "Com, presse, planification média, réseaux sociaux… C'est un grand mix de tout."

Quand elle a vu que ce poste, qui regroupe Grand Théâtre et Théâtre des Capucins, était libre à la sortie de ses études… "J'ai dit : 'Celui-ci, il est pour moi.' (rires) C'était tout ce que j'avais toujours voulu faire." La culture – et le fait de la rendre plus accessible à tous – a une place importante dans sa vie. "D'ailleurs, tu me trouves souvent dans la salle." Elle aime le théâtre, le cinéma, surtout la musique et… "Oui, oui, oui. J'adore les voitures", insiste-t-elle. "Tout ce qui est sport et vitesse, j'aime."

Ça tombe bien. La nouvelle CUPRA est la définition parfaite d'une voiture sportive. Conçue pour des personnes en quête d'émotions, son seul design donne déjà des papillons dans le ventre. Sa carrosserie élégante fusionnée à ses lignes sportives et à ses couleurs subtiles sont époustouflantes. Le Glacial White, qui dégage un léger ton bleu polaire, fait ressortir le cuivre du logo de la marque, hyper moderne… Tout simplement cohérent.

La nouvelle CUPRA Born est la définition parfaite d'une voiture sportive. Conçue pour des personnes en quête d'émotions, son seul design donne déjà des papillons dans le ventre.

Aurora Blue, Rayleigh Red, Geyser Silver ainsi que Quasar et Vapor Grey viennent compléter l'offre de coloris. Quel qu'il soit, le rendu, associé au seuil latéral aérodynamique, aux phares Ceremony Light et aux jantes Aero Wheels, est électrique – tout comme son moteur. Car en plus de tout ça, cette nouvelle CUPRA est respectueuse du monde qui l'entoure. Plaisir et vitesse, le tout sans mauvaise conscience. Victorieuse à tous les niveaux.

Derrière, le bas du coffre de la Born lit les lettres C U P R A en large. La CUPRA charge encore. "Je ne sais pas comment on débranche ça", rigole Yasmine, intriguée face au test d'une électrique. En effet, cette balade marquera sa toute première fois au volant d'une voiture sans carburant. Sans plus attendre, elle monte dans l'auto. "Wow – un chargeur à induction", s'écrie-t-elle. "C'est super. Mon téléphone est toujours à plat. (rires)"

Bien que la voiture n'en ait pas l'air de l'extérieur, elle est spacieuse à l'intérieur. "Elle pourrait accueillir une famille." Cela dit, ici aussi, le feeling sportif est omniprésent. Le volant, une sellerie en cuire munie de boutons multifonctionnels, et les buckets seats DINAMICA, en matériaux recyclés de haute qualité, font de la CUPRA une petite voiture de course confortable. "C'est sportif mais relax", résume Yasmine. "J'adore les sièges."

Elle allume le contact et l'e-Sound retentit. Un système spécialement conçu par CUPRA et qui offre une expérience acoustique unique. Yasmine tapote l'écran tactile avec son index : "Ass dat do de Navi? (Ceci, c'est le GPS?)" 12 pouces flottants d'infodivertissement, de série, pouvant afficher de nombreuses données dont la navigation 3D. Exactement. "Je parle comme si je n'avais encore jamais conduit de voiture de ma vie. (rires)"

Musique et médias

Jusque Remich, un choix empli de souvenirs, Yasmine connaît le chemin. Si son téléphone est toujours vide, c'est que son statut attend d'elle qu'elle soit toujours disponible. Même le weekend. "Ma vie se définit par la recherche de soi-même et de ce que j'ai envie de faire", explique-t-elle. "Je suis à la recherche en permanence. Je ne me satisfais jamais de ce que j'ai… Jamais je ne me dis : 'Ouf, c'est bon. Tu es arrivée. Respire deux secondes.'"

Ou presque… "Quand c'est le cas, ce n'est que pour un court instant puis je m'y remets. Je recommence à me poser des questions. Je repars à la recherche. Dans le fond, ça a déteint sur toute ma vie." Sur les routes de l'ouest aux paysages verts, la Born prend les virages comme un poisson dans l'eau. Yasmine allume la radio. Comme souvent, Eldoradio se lance automatiquement : "Ah, genau dat Richtegt ! (Ah, dans le mille !)"

Den Hitradio zu Lëtzebuerg. En plus d'y animer une émission, Yasmine adore la musique. Au point d'en avoir fait sa section au lycée. "Je fais de la musique depuis que je suis petite. Mon père en a toujours fait et ma mère chantait." Le bac en poche, elle est allée étudier le marketing à Bruxelles, mais voulait devenir journaliste : "Chez Eldo, j'ai compris que je ne devais pas forcément avoir étudié le journalisme pour en faire."

La radio a fait d'elle la personne qu'elle est aujourd'hui, elle l'a propulsée dans le monde des médias. A une vitesse digne de l'accélération instantanée de la Born. De 0 à 50 et à 100 km/h en seulement 2,9 et 7,3 secondes, la puissance de 204 ch et la performance du moteur électrique Battery 58 kWh (62 kWh) / 150 kW changera même l'avis des adeptes d'essence et de diesel. Pédale, en aluminium qui plus est, enfoncée, c'est les frissons assurés.

La sécurité, quant à elle, est accentuée grâce au pack CUPRA du même nom, offrant assistance de stationnement, d'éclairage et bien plus encore. Accompagnée du Dynamic Chassis Control qui ajuste la suspension du châssis de façon à ce qu'il s'adapte à chaque bosse et courbe en douceur, la Born propose une expérience de conduite confortable et exaltante. "Ça me plaît beaucoup", commente Yasmine qui monte le son.

En voiture, elle aime pouvoir mettre la musique qu'elle veut. "La même chanson 120 fois de suite, jusqu'à ce que ça me soule. (rires)" Comme en studio, elle y est sa propre DJane. "Faire de la radio le samedi, c'est mon équilibre. Mon équivalent de ce qu'est le yoga pour d'autres. Ça m'apporte quelque chose. J'arrive au studio, j'allume le micro et je suis libre." De 13 à 17 heures. "Je peux mettre le son à fond, chanter avec, danser…"

"J'ai commencé avec la radio de façon très classique, à la Schülerradio (radio des élèves)", raconte Yasmine. Le lycée classique de Diekirch, son école, avait – et a toujours – une station qui diffuse la radio locale, Radio Lora. "C'est là que j'ai fait mes premières expériences radio. J'y ai écrit des reportages, les ai enregistrés, coupés, produits." Puis le mercredi, pendant la pause de midi, "on avait une émission en live sur Radio Lora".

Ce premier contact lui a plu et elle a voulu en découvrir plus. Après plusieurs vacances passées chez RTL, Eldoradio lui a proposé de la former au métier d'animatrice. "Je ne savais même pas ce que c'était, mais j'ai accepté. (rires)" En 2014, elle a animé sa première émission. "Un 4 mai. J'étais super nerveuse et le stress montait parce que le gars des news n'arrivait pas… Je me voyais déjà improviser. (rires)" Heureusement, il a fini par arriver et la force a été avec elle. Comme freelanceuse, elle a alors succédé les émissions dont le Morning Show en été.

Deux ans plus tard, la possibilité d'avoir son émission fixe est arrivée. "Ce qui me plaisait le plus, c'était le Chartbreaker", raconte-t-elle. "C'est une émission complètement différente des autres. C'est 4 heures sans reportage, sans news. Tu n'as que ta musique. Puis pour moi, allumer son micro et dire 'Ça, c'est cette chanson-ci. C'est parti', ce n'est pas faire de la radio. Faire de la radio, c'est être authentique, mais informée. Moi, je raconte aussi énormément d'anecdotes. Comment telle ou telle chanson a marqué ma vie."

Par une étroite ruelle bordée de charmantes maisons mitoyennes, la CUPRA Born entre sur Remich. Vue sur la Moselle, sa digue et un ciel gris, les nerfs se détendent. La même palette de couleurs que la mer du nord, mais au Luxembourg. Comme en vacances. Au bord de l'eau, un parking qui accueille à peine une dizaine de voitures nous fait du pied. Yasmine décide d'aller s'y garer et commence sa manœuvre.

"Il faut que je me concentre sinon la prochaine fois que quelqu'un me reconnaîtra, il dira 'Kuck, dat ass dat vum Radio, wat net parke kann (Regarde, c'est celle de la radio qui ne sait pas se garer)'", rigole-t-elle. "Ou bien non. Tu sais quoi, je dirai que c'était Maxime (le reporteur, ndlr) au volant. (rires)" Mais avec la CUPRA, pas besoin d'en arriver là. Car grâce à sa Top View Camera, 4 caméras différentes visualisent l'environnement de la Born à 360 degrés. Facile. Pratique.

Si d'autres aides à la conduite s'offrent encore au·à la pilote, l'avertissement de sortie rendra plus serein les mordu·e·s de voitures, allergiques à la moindre griffe. Cette aide n'est autre qu'un détecteur de circulation pendant l'ouverture des porte. Garé·e·s en bord de route de villes super peuplées où le passage est permanent, plus besoin d'avoir peur donc. Car si la moindre voiture passe alors que quelqu'un tente d'ouvrir, le système émet un signal.

Souvenirs d'enfance

Yasmine sort de la voiture et part en balade le long des bateaux. Le regard au loin, elle se rappelle ses années d'insouciance. "Je relie Remich à de beaux souvenirs d'enfance", se souvient-elle. "Chez nous, le dimanche était le jour où on restait en famille et où on faisait une activité. On mangeait ensemble le midi, puis on grimpait dans la voiture et on partait quelque part… Le quelque part duquel j'ai le plus de souvenirs est Remich."

"C'était des moments basiques. On se promenait, on allait faire un tour en bateau, on allait manger une glace." Et comme tout bon parent des années '90, sa mère ne lâchait jamais son caméscope. "Elle le prenait avec elle partout – Partout ! – et elle filmait tout. On a des tonnes de cassettes de Remich. Sur certaines, je suis encore en poussette et sur d'autres, ma sœur qui a 3 ans de moins est là et on fait de la trottinette sur l'esplanade."

Soudain, il commence à pleuvoir. Une vraie pluie battante. Yasmine retire son manteau et se le met au-dessus de la tête. "It's not good-hair-day", rigole-t-elle qui se réfugie sous un petit toit le temps que la météo se calme. La musique aussi est source de beaucoup de souvenirs pour elle. Les clips vidéo qu'elle adore – "Je suis de la génération MTV !" – les chansons de son adolescence et surtout, les rayons de disques au supermarché…

"Quand mes parents faisaient les courses, ma sœur et moi restions là." Surtout à la Belle Etoile, plusieurs stations munies de casques et de 6 CDs chacune permettaient d'écouter les plus récentes sorties. "Grâce à ces stations, j'ai découvert plein de musique." En 2001, elle a reçu son premier album. "Laundry Service de Shakira. Je me suis battue pour et je l'ai eu. (rires) Je me souviens encore de l'étiquette '25€ / 1 000 francs' qu'il y avait dessus."

Pour elle, la meilleure année musicale est sans hésiter… "2007. Je pense à Justin Timberlake. Beyoncé qui sortait un hit après l'autre. Umbrella de Rihanna, Like A Boy de Ciara. J'ai tellement écouté ça. On mettra du 2007 sur la route du retour ! (rires)" Balade terminée, Yasmine entre dans la CUPRA. I'm Good de David Guetta s'allume. "Ça, c'est vraiment mauvais", rigole-t-elle. "Je ne le dis pas à l'antenne, mais…" C'est vraiment mauvais.

Les étoiles dans les yeux à l'idée de lancer sa playlist, Yasmine défie la Born au test ultime : sa sono et le CarPlay. Mais même pas peur. En ce qui concerne la technologie de pointe, la CUPRA, qui permet d'emmener sa vie numérique à bord, joue à domicile. Grâce au Full Link sans fil, tout (Android Auto également) est accessible de manière intuitive et sûre. Le système Beats doté de 9 haut-parleurs, quant à lui, offre une acoustique de concerts.

"J'ai des tickets pour aller voir Robbie Williams, Lizzo, Sam Smith, The Weeknd et Macklemore cette année. J'ai trop hâte." Au loin, des vignes pointent le bout de leur nez. "L'électrique pour moi a toujours été une question d'autonomie", explique Yasmine. "Mais en réalité, les trajets les plus fréquents sont ceux de la maison au travail et au supermarché, donc ça suffit amplement." Pour aller faire un tour au milieu des raisins, sans aucun doute.

Dans sa démarche, CUPRA s'engage pour la planète. Le but est de réduire ses émission de CO2 à chaque étape, de sa chaîne d'approvisionnement et son processus de production jusqu'à la livraison aux client·e·s. Pour convaincre ces dernier·ère·s, tout est mis en place. À commencer par une batterie pouvant parcourir de 375 à 552 km en fonction du moteur. L'équivalent d'un aller-retour jusqu'à l'ULB – et plus –, où Yasmine a fait ses études, en une seule charge.

L'application CUPRA CONNECT GEN4 qui rend possible le contrôle à distance du véhicule permet, quant à elle, de planifier la recharge l'auto et de calculer tout de façon à préparer au mieux les grands – comme les petits – trajets. Aucune place n'est laissée au hasard. Même le déclenchement du chauffage loin de la voiture est possible. Plus jamais besoin de prendre la route couvert comme un Bibendum.

Au service de la culture

Même si elle aussi a parfois besoin de recharger ses batteries, Yasmine aime et croit en ce qu'elle fait. "La culture, c'est mega important", explique-t-elle. "C'est essentiel pour la société. Que ce soit une visite au théâtre ou au cinéma, le besoin est énorme. On s'en est rendu compte pendant la pandémie. La culture n'a pas d'égal, pas d'alternative." Elle permet aussi de se cultiver et de trouver son identité. "On y retrouve beaucoup de leçons. Des artistes comme Sam Smith, Lizzo ou Harry Styles qui s'assument comme ils sont, par exemple."

"La culture n'a pas d'égal, pas d'alternative. (…) C'est méga important. Que ce soit une visite au théâtre ou au cinéma, le besoin est énorme."

Yasmine Kauffmann

Quant à elle, elle aide à faire parvenir cela aux gens. "En faisant passer des chansons, mais surtout en faisant découvrir les artistes et leur background. Je participe à cultiver la culture générale des auditeurs. Ça veut aussi dire que si je balance des fake news… ce n'est pas cool. Donc si je lance une chanson que je n'aime pas, je ne dis pas 'C'est de la merde' mais je dis que, selon moi, David Guetta, pour la chanson I'm Good, a choisi la facilité. (rires)"

Depuis les ruelles au cœur des vignes, la vue est sublime alors que les plants se succèdent par centaine. Le passage est étroit. Sommes-nous sur une route ou sur une piste cyclable? Personne ne le sait, mais la CUPRA ne recule devant rien. "Au théâtre aussi, la responsabilité est grande", explique Yasmine. "Prenons l'opéra… C'est plein de stéréotypes. Les jeunes pensent que ce n'est que pour les vieilles personnes en costume le dimanche."

"Là, c'est entre autres à moi de leur dire qu'ils n'ont pas à avoir peur et de venir se faire leur propre opinion." Parler à une cible plus jeune peut passer par des affiches colorées et glitchy ou par des références à leur pop-culture. "Mais il faut faire attention… parce qu'on ne veut pas non plus exclure notre clientèle habituelle. La marge est étroite. C'est un changement d'angle et tu dois trouver un équilibre." Ne pas y aller trop fort.

Désormais sur la route du retour, Yasmine se laisse porter par la conduite agréable de la Born et fredonne les paroles des tubes de 2007. "Je dois avouer que je n'écoute pas beaucoup de radio", rigole-t-elle. C'est vrai qu'en 2023, le streaming a pris le dessus. "Sur Spotify, pour le moment, j'écoute beaucoup les capsules temporelles '90, '80 et même '70. (rires)"

Son équilibre personnel, entre les Théâtres de la Ville et les samedis qu'elle passe à animer et danser dans les studios de radio, elle l'a trouvé. Il se cache dans les valeurs de son enfance, dans la musique qui l'a bercée et dans son authenticité.

"J'avais 14 ans quand j'ai compris que la musique était quelque chose dont j'avais besoin", résume-elle. "Ça n'a pas changé. La musique est mon compagnon loyal, ma thérapie, et je ne pourrais pas vivre sans."