Si les cours de langues ont connu un essor fulgurant depuis dix ans, c’est en grande partie grâce au luxembourgeois. Au-delà de la nationalité, c’est pour mieux vivre au Grand-Duché que de plus en plus de gens se plongent dans la langue de Dicks.
Des trois langues officielles du pays, c’est longtemps le français qui est resté le plus sollicité dans les centres de langues publics comme privés. En 2009, 3.590 adultes étaient inscrit·e·s à l’Institut national des langues (INL) pour apprendre le français contre 1.986 pour le luxembourgeois. Dix ans plus tard, ce rapport de force a basculé en faveur de la langue de tous les jours : 6.217 apprenant·e·s étaient inscrit·e·s dans ce département à l’INL en 2019 contre 5.772 dans le département de français.
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Le luxembourgeois, nouvelle vedette des écoles de langues
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