Le côté sombre d'une profession
Par Sarah Raparoli, Lex Kleren Changer en allemand pour l'article original![](/sites/default/files/styles/640_square/public/upload/media/image/2021-04/_LEX6042.jpg?h=b2d9f031&itok=Q-Wqj7WY)
«NotOneMoreVet» (NOMV) veut attirer l'attention sur le côté sombre de la profession de vétérinaire. Dans une interview accordée au Lëtzebuerger Journal, une vétérinaire exerçant au Luxembourg et une étudiante luxembourgeoise à Vienne parlent de leurs expériences. Les deux femmes ont une chose en commun : elles veulent sensibiliser les gens.
Le bien-être du monde animal est pour eux·elles une priorité absolue et ils·elles sont souvent les auxiliaires en cas d’extrême urgence : les vétérinaires. Les compagnons tout doux leur sont confiés avec plaisir. Entre-temps, il existe une organisation qui veut attirer l'attention sur le risque accru de suicide dans cette profession. Jamais entendu parler de cela ? Jusqu'à présent, ce sujet n'a pas ou peu attiré l'attention de la société, du moins au Luxembourg. Néanmoins, c'est une triste réalité, déclare la Dr Caroline Mousel.
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