Boîte noire de l'inclusion scolaire
Par Christian Block, Lex Kleren Changer en allemand pour l'article originalL'État investit beaucoup pour créer les conditions d'une inclusion réussie à l'école. Mais la manière dont les ressources sont utilisées n'est guère compréhensible, déplore l'Observatoire national OEJQS. Au ministère de l'Éducation nationale, on promet de s'améliorer.
Lorsque Martine Frising a présenté le système d'inclusion luxembourgeois à ses collègues et aux enseignant·e·s de l'Université catholique de Louvain, elle a suscité des réactions émerveillées. "Ils disaient qu'au Luxembourg, tout devrait fonctionner parfaitement en matière d'inclusion", se souvient l'observatrice de l'Observatoire national de l'enfance, de la jeunesse et de la qualité scolaire (OEJQS). Il est bien connu que ce n'est pas le cas et le rapport de l'Observatoire de 2023 le prouve.
Dans ce contexte, la description de Mme Frising de l'état actuel de l'inclusion scolaire est d'abord positive : "Au Luxembourg, nous sommes dans la situation favorable où les élèves sont automatiquement en inclusion grâce à la législation, c'est-à-dire inscrits dans une école ordinaire […]. Cela nous distingue déjà de l'étranger."
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