Un manque de transparence
Par Pascal Steinwachs, Lex Kleren Changer en allemand pour l'article originalDiekirch figure parmi les rares communes du pays dans lesquelles un parti dispose d'une majorité absolue. Dans ce cas, il s'agit du LSAP, qui y parvient depuis deux mandats déjà. Le CSV, qui parle d'une politique autoritaire et dirigiste, veut changer cela.
Dans notre série précédant le scrutin communal du 11 juin, nous nous promenons dans leur commune avec deux candidat·e·s qui se présentent aux élections communales et nous leur demandons ce qui leur tient à cœur dans leur commune. S'il s'agit de politicien·ne·s d'opposition, nous leur demandons d'expliquer, à l'aide d'exemples concrets, ce que leur parti ferait mieux s'il gagnait les élections. Ou alors, s'il s'agit de représentant·e·s de la majorité, nous leur demandons ce qui fonctionne bien, mais qui pourrait peut-être être amélioré.
Il ne s'agit pas forcément des noms les plus connus, car tout le monde veut leur parler en ce moment. Dans la quatrième et dernière partie de notre série, nous passons un après-midi avec les deux candidat·e·s du CSV, Charel Weiler et Stéphanie Mendes, à Diekirch.
Une seule femme dans le conseil communal
Qu'est-ce qui vient tout de suite à l'esprit quand on n'est pas de Diekirch ? En premier lieu, probablement la bière du même nom, puis la cavalcade et la fête populaire Al Dikkrich (Vieux Diekirch), très appréciées dans tout le pays. Quand on pense à Diekirch, on pense peut-être aussi à la colline dite Herrenberg, où se trouve la caserne de notre armée depuis plus de 65 ans, ainsi qu'au projet de fusion des communes de la Nordstad, dont on parle depuis des années, mais qui n'a pas encore vu le jour.
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