L'autonomie au lieu de la dépendance pour les victimes de violences

Par Sherley De DeurwaerderLex Kleren Changer en anglais pour l'article original

Partir n'est qu'un début. Le bilan émotionnel de la violence fondée sur le genre n'est qu'une partie de l'équation : les répercussions financières peuvent être tout aussi dévastatrices et échappent généralement à l'attention du public. Le chemin vers la sécurité est souvent pavé de frais de justice, de refus de logement et d'emplois mis en péril, entre autres. La Voix des survivant(e)s en est douloureusement consciente dans son combat pour une réforme structurelle.

Il y a quelques semaines, Ana Pinto, fondatrice et présidente de l'association à but non lucratif La Voix des survivant(e)s (LVDS), et sa coprésidente Marie-Laure Rolland, accompagnées des membres du groupe de travail "Justice" de l'asbl qui les ont aidées à rédiger leurs propositions de réforme, se sont rendues à la Chambre des députés à la suite du succès de la pétition publique 3409. La pétition appelle à des réformes concrètes pour lutter efficacement contre la violence fondée sur le genre et s'attaquer à son impact sur les enfants co-victimes.

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