Editorial - L'inclusion est plus qu'un chiffre

Par Christian Block Changer en allemand pour l'article original

Le savoir-faire, l'engagement et les moyens financiers ne manquent pas, mais le manque de données ne permet pas de savoir dans quelle mesure l'État utilise toutes ces ressources dans le cadre de l'inclusion scolaire pour améliorer les chances de formation des enfants ayant des besoins spécifiques.

Cet article est mis à ta disposition gratuitement. Si tu veux soutenir notre équipe et le journalisme de qualité, abonne-toi maintenant.

 

Quels sont les défis spécifiques de l'inclusion dans l'enseignement secondaire ? Telle était la question de départ d'un article il y a quelques mois. Mais après diverses interviews, il est vite apparu que le besoin de discussion et de clarification était bien plus important.

Le Luxembourg a posé la première pierre de l'inclusion scolaire au début des années 1990. Les réformes intervenues à partir de 2017 ont renforcé le droit à l'éducation "sans discrimination et sur la base de l'égalité des chances", comme le stipule la Convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées, ratifiée par le Luxembourg en 2011. Les points principaux en bref : la suppression des écoles spécialisées Ediff, la mise à disposition de ressources supplémentaires sous forme de personnel spécialisé et de coaching dans les écoles, encadrées par des centres de compétences spécialisés qui peuvent aider de manière ambulatoire ou proposer une scolarisation propre plus ou moins développée.

La suite de cet article est gratuite

Elle est disponible pour les utilisateur·rice·s abonné·e·s à la newsletter, qui est envoyée deux fois par semaine, et ayant un compte Journal.

As-tu déjà un compte ?

Connecte-toi