
Pour Frisoni, le cowboy-cott serait une façon de résister aux folies de Trump…
Boycott or not boycott? J’ai bien écrit boycott et non pas boycottage, boycottement, ou boycottation, comme j’ai cru l’entendre sur certaines stations de radios. Boycott, tout simplement. Nom commun, venant d’un nom propre. "L'origine du terme vient du nom de Charles Cunningham Boycott (1832–1897), riche propriétaire terrien de l'Irlande de l'Ouest, durant le 19e siècle, qui traitait mal ses fermiers et subit un blocus de leur part. Le mot boycottage fit son entrée en France en 1881, puis est devenu boycott, comme dans le reste du monde francophone, à cause de la redondance du suffixe", nous enseigne l’encyclopédie Wikipedia.
Donc, boycott or not boycott? J’évoque bien évidemment les produits importés depuis les États-Unis. L’attitude agressive de Trump, ses provocations débiles, ses menaces incessantes… ont conduit certains à proposer un boycott de tout ce qui est made in USA. Et nombre d’autres à le faire sans le crier sur les toits. Ainsi, moi-même, dois-je reconnaître que je boycotte les McDo ou le Coca, au profit des tournedos et du Saint-Émilion. Je le fais simplement, quotidiennement, au prix d'efforts considérables. Mais j’ai un grand sens du sacrifice. D’autres disent qu’un boycott serait inutile, impossible voire contreproductif.
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