Le temps d'après

Par Pascal SteinwachsLex Kleren Changer en allemand pour l'article original

L'un est au LSAP et aurait bien aimé continuer, l'autre est au CSV et s'est volontairement retirée de la politique. Pour Tom Krieps, ne pas être réélu le 11 juin a été un coup dur, tandis que Claudine Konsbruck ne s'est même pas présentée.

L'idée de nous entretenir avec les deux anciens conseiller·ère·s communaux·ales de la capitale nous est venue lorsque nous sommes tombés sur des photos sur les réseaux sociaux. On y voit les élu·e·s communaux·ales sortant·e·s et ceux·celles qui ont été réélu·e·s se féliciter – la plupart avec un œil qui rit et un œil qui pleure. Les un·e·s heureux·euses d'avoir été réélu·e·s, mais attristé·e·s de ne plus voir – ou rarement – leurs voisins de banc de longue date. Les autres tristes de ne pas avoir été réélu·e·s ou de ne plus être là, mais quelque part heureux·euses et soulagé·e·s d'avoir plus de temps pour faire autre chose.

D'abord le fils de son père, et maintenant l'oncle de sa nièce

Nous rendons visite à Claudine Konsbruck et Tom Krieps à Belair par un après-midi peu ensoleillé. Toutefois, la journée l'est encore suffisamment pour que nous puissions mener notre conversation à l'extérieur, sur la terrasse du jardin de Claudine Konsbruck.

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