
Notre chroniqueur a découvert comment aider la nature et l’humanité en changeant simplement l’ordre des saisons.
La désaffection des citoyens à l’égard des politiques a de nombreuses causes. Il y a bien sûr les scandales, les retournements de veste, les promesses non tenues, le niveau affligeant de certains, la paresse des autres… Mais il y a surtout l’absence de grandes visions, de projets ambitieux, de volonté de changements réels et profonds concernant aussi bien la vie quotidienne des gens que l’avenir des générations futures, voire le futur des générations à venir. Certes et fort heureusement, d’aucuns commencent à se soucier de l’état de la planète et des catastrophes qui menacent l’humanité. Mais ils commencent juste, alors qu’on n’est pas loin de la phase terminale. Il est donc grand temps que des esprits éclairés proposent des combats motivants, respectables et surtout dignes des luttes glorieuses des grands anciens. Ainsi, en son temps, Alphonse Allais fut-il crédité d’une idée géniale, qui lui est encore attribuée aujourd’hui. En vérité, c’est Jean-Louis-Auguste Commerson qui la proposa. Elle était résumée par la phrase géniale : « Il faudrait construire les villes à la campagne, l’air y est plus pur ».
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J'ai deux mots à vous rire - Un vrai changement
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